La Fédération Française de Tennis (FFT) a obtenu gain de cause auprès de l'Autorité Nationale des Jeux (ANJ) : dans une décision datée du 20 avril, le régulateur ajoute à sa liste des supports de paris autorisés les tableaux des doubles dames et doubles messieurs des tournois de tennis du Grand Chelem. Joli timing à quelques semaines à peine de Roland Garros !

Il y a un an, l'Autorité Nationale des Jeux (ANJ) constituait un groupe de travail sur les partenariats sportifs des opérateurs de jeux d'argent. Sur la base de ses travaux, le régulateur présente aujourd'hui des lignes directrices et recommandations destinées à "renforcer la régulation de ces pratiques commerciales".

Sur le papier, le Taux de Retour Joueur (TRJ) fait partie des principaux outils établis par le législateur pour prévenir le jeu excessif ou pathologique, mais aussi lutter contre le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme. Dans les faits, plusieurs opérateurs peinent pourtant à redistribuer aux joueurs moins de 85 % des mises qu'ils ont engagées auprès d'eux. Une situation face à laquelle l'ANJ hésite encore à sévir.
En septembre, la rudesse des épreuves avait très vite découragé plus d'un parieur. Pour la deuxième édition de son Koh Lanta à la sauce paris sportifs, Winamax a donc revu sa copie : les badges à collectionner sont moins nombreux au sein de la tribu rouge, et les épreuves plus accessibles jusqu'à la phase d'orientation. La philosophie globale de l'opération reste en revanche la même, avec pour enjeu des freebets au montant proportionnel à vos mises.
"Le contribuable qui s'adonne de manière occasionnelle aux paris sportifs ne doit pas s'inquiéter des répercussions fiscales de ses mises gagnantes et peut disposer librement des liquidités en sa possession", rappellent Fanny Fabrega Digby-Smith et Thomas Aguer dans une tribune publiée sur Le Revenu. La jurisprudence récente le confirme : "La pratique, même habituelle, de tels paris ne constitue pas une occupation lucrative ou une source de profit, en raison de l'aléa qui pèse sur les perspectives de gains du joueur".
À l'occasion des matchs de qualification pour l'Euro 2024, PMU dégaine cette semaine une opération mettant en jeu 10 000 € de freebets. Pour prétendre à votre part du gâteau, il suffit de parier au moins 30 € sur les matchs concernés, le tout sur la base de cotes minimales de 1,40. Les 450 joueurs affichant le meilleur taux de gain seront récompensés avec des paris gratuits compris entre 10 et 50 €.
Accessible depuis longtemps au Royaume-Uni, en Italie, en Espagne et dans les pays scandinaves, Betway avait obtenu un agrément pour proposer des paris sportifs sur le marché français en mars 2020. L'opérateur ne s'était toutefois lancé qu'en mai 2021. Moins de deux ans plus tard, l'aventure se termine déjà. Le bookmaker annonce à ses clients sa fermeture le 31 mars prochain, et les invite au passage à utiliser leurs derniers freebets ainsi qu'à retirer leurs fonds "dans les plus brefs délais".

Appelé à examiner les stratégies promotionnelles des opérateurs de jeux d'argent pour l'année 2023, le collège de l'Autorité Nationale des Jeux (ANJ) a rejeté le plan proposé par la Française des Jeux pour son activité sous monopole. Les 17 opérateurs en ligne ont en revanche obtenu l'approbation de leurs plans respectifs, mais presque systématiquement avec l'ajout de conditions exigeantes.
Vous n'avez jamais parié sur Winamax ? L'opérateur double la cote de votre premier pari placé sur les résultats des 8es de finale aller de la Ligue des Champions, et ce dans la limite de 50 € de mise. Si vous n'êtes pas éligible, une autre offre vous attend avec Le Gros Live : 25 € de freebets à récupérer en misant 25 € lors de la première mi-temps du match PSG-Bayern.

Dans son bilan de la Coupe du Monde de football 2022, l'Autorité Nationale des Jeux (ANJ) relève que sans surprise, la compétition a marqué "un temps fort dans l'agenda du pari sportif avec des enjeux en ligne qui ont battu des records". Le régulateur confirme au passage sa volonté d'aller plus loin dans l'encadrement publicitaire des opérateurs.

Auditionnée mercredi durant plus d'une heure devant la Commission des Finances du Sénat, la présidente de l'Autorité Nationale des Jeux (ANJ) a notamment appelé de ses vœux un élargissement des pouvoirs du régulateur. Tout en distillant quelques informations et chiffres intéressants, aussi bien sur l'état de santé du secteur que sur son avenir.
Ce n'est pas une révolution, mais la dernière mise à jour de la liste des supports de paris autorisés par l'ANJ mérite une mention. Y apparaissent désormais le Circuit Sail GP en voile, ainsi que le nombre de buts inscrits par un joueur lors d'un match de handball. La demande de la FdJ visant à inscrire l'United Cup de tennis est en revanche rejetée.
Dans une interview accordée à France Info, le fondateur de Betclic annonce que le bookmaker a enregistré "plus de 23 millions d'euros de mises" lors de la seule finale de la Coupe du Monde de football. L'opérateur, qui représente aujourd'hui "un tiers du marché français des paris sportifs", appelle au passage les autorités à s'emparer du sujet des jeux de casino en ligne.

Les taxes sur les paris sportifs doivent-elles bénéficier intégralement au monde du sport ? Leurs produits peuvent-ils au contraire continuer d'être affectés partiellement au budget général de l'État ? Telles étaient les questions auxquelles étaient appelés à répondre les parlementaires en fin de semaine dernière. Un débat qui s'est finalement soldé par un statu quo.
Après "des échanges approfondis depuis le mois de mars", l'ANJ a obtenu de Sorare le renforcement de l'accès gratuit aux "tournois que la société organise au moyen des cartes virtuelles qu'elle émet et commercialise". Le régulateur mettra en place en parallèle un dispositif de contrôle ad hoc, mais il ne s'agira que d'une "étape transitoire avant l'adoption d'une solution pérenne qui passe par une adaptation de la législation".
C'est une diss track qui fera date dans l'histoire du rap français. Dans le cadre d'une campagne de prévention visant à "lutter contre les fausses croyances associées aux paris sportifs et sensibiliser les jeunes joueurs aux vraies conséquences du jeu excessif", le régulateur dévoile un titre "rythmé par des punchlines percutantes". Les publicitaires de Winamax en prennent pour leur grade.
Vous n'avez pas pu passer à côté de l'info : Winamax vous invite à pronostiquer gratuitement l'ensemble des rencontres de la Coupe du Monde de football. L'enjeu ? 200 000 € de freebets à se partager pour les plus perspicaces. Histoire de maximiser vos chances de vous en mettre plein les poches, n'hésitez pas à rejoindre la ligue réunissant les parieurs du Bar des Sports et de Club Poker. Ça se passe exclusivement sur smartphone et le code d'accès est le suivant : oilhpg84lM.
La dernière mise à jour de la liste des supports de paris autorisés brosse dans le sens du poil les amateurs de cyclisme. En 2023, vous pourrez parier sur le Tour des Emirats Arabes Unis, le Classic Bruges-La Panne, le Grand Prix de Francfort, le Tour de Pologne, À travers les Flandres, Milan-Turin, le Tour des Alpes, le Tour de Provence, la Flèche Brabançonne ou encore le Tour de France Femmes.
À l'occasion de la reprise de la NBA, Winamax offre un cadeau par jour aux habitués du Jeu de l'Entraîneur. Top départ ce mardi avec une équipe offerte pour trois équipes créées, mais l'opération se poursuivra jusqu'à lundi prochain avec des contests gratuits ainsi que des distributions de freebets.

Pour gagner de l'argent avec le sport, on a trouvé mieux que les paris et les gros combinés. Hier, un fan originaire de Dallas a réceptionné une balle propulsée par Aaron Judge dans les tribunes de la rencontre entre les Yankees et les Rangers. Symbole d'un nouveau record, celle-ci vaudrait aujourd'hui plusieurs millions de dollars.

Au premier semestre, le secteur des jeux en ligne enregistre un recul global de 11 % qui découle principalement d'un calendrier sportif défavorable. Le Produit Brut des Jeux (PBJ) des opérateurs de paris sportifs accuse ainsi une forte baisse de 12 %, laquelle tient pour l'essentiel à l'absence d'une compétition majeure comme l'Euro de football l'an dernier.