Comme souvent, c'est à un élargissement à la marge que procède l'ANJ à la demande de plusieurs opérateurs. Ainsi, il est désormais possible de miser sur le nombre de points par manche en baseball, mais aussi sur le classement final d'un grand prix de moto GP (jusqu'à 15 pilotes) et sur l'identité du pilote réalisant le meilleur temps de la dernière séance de qualif'.

Une bien curieuse polémique a animé les réseaux sociaux ces deux derniers jours. Tout est parti d'un tweet de Winamax détournant les paroles d'une chanson de PNL. La ministre des sports Roxana Maracineanu est montée au créneau, bientôt rejointe par une députée fermement décidée à obtenir la suspension de l'agrément de l'opérateur de paris sportifs. L'Autorité Nationale des Jeux (ANJ) a finalement calmé le jeu ce mardi en demandant, et en obtenant, la suppression du tweet en question.
C'est une info signée L'Équipe : plusieurs salariés de Winamax sont en garde à vue dans le cadre d'une affaire de paris suspects, lesquels portent sur un match de Ligue 1 algérienne disputé en mai 2018. La rencontre avait fait l'objet de paris anormalement élevés sur un score exact de 3-2. Parmi ces paris, quelques mises plus modestes pourraient avoir été l'œuvre des employés suspectés.

Année impaire oblige, l'absence d'une compétition internationale de football se fait sentir pour le marché français des paris sportifs en ligne. Le secteur enregistre malgré tout une hausse de 44 % de son Produit Brut des Jeux (PBJ) au troisième trimestre. Cette excellente dynamique n'est donc pas en passe de s'essouffler.

En novembre 2017, l'Autorité de Régulation des Jeux En Ligne (ARJEL) soulignait que les règles du code de la consommation s'opposaient à une pratique répandue chez les bookmakers : le refus ou la limitation des paris des plus gros gagnants. Au regard des arguments présentés par certains opérateurs devant la justice, le régulateur estime aujourd'hui devoir rappeler son interprétation de la loi.
Dans une décision datée du 14 mars, l'Autorité de Régulation des Jeux En Ligne (ARJEL) étend la liste des résultats susceptibles de faire l'objet de paris en NFL. Le nombre de points inscrits et l'équipe marquant le prochain point sont entre autres concernés. En revanche, le régulateur suit l'avis défavorable de la FFF s'agissant de la première division féminine de football.

La cour d'appel de Paris a récemment estimé que PMU avait abusé de sa position dominante sur le marché des hippiques en ligne entre 2010 et 2015. L'opérateur historique devra en conséquence indemniser Betclic, qui était à l'origine de la procédure. D'autres acteurs du secteur pourraient s'en inspirer.

Le budget du ministère des Sports pourrait finalement augmenter, titrait récemment Le Parisien en référence à la volonté de certains députés de réaffecter une partie du gâteau généré par les paris sportifs en ligne. S'il n'est nullement question de modifier le taux des prélèvements, le projet ne semble pas faire l'unanimité dans l'Hémicycle.
Par un jugement en date du 6 septembre 2018, la Cour d'appel de Paris interdit à Winamax de publier des images ou clichés issus de compétitions organisées par la Fédération Française de Football. Cette décision, assortie d'une condamnation à 50 000 euros de dommages et intérêts, referme un litige vieux de trois ans entre le bookmaker et la FFF.
Par une décision en date du 21 juin, l'Autorité de Régulation des Jeux En Ligne (ARJEL) étend la liste des supports de paris à six compétitions de football : l'International Champions Cup, la Ligue des Champions de la CONCACAF, les championnats paraguayen et équatorien, la Coupe de la Ligue écossaise et enfin la Coupe de Belgique à partir des 16e de finale.

À l'occasion de la Coupe du Monde de football, l'Autorité de Régulation des Jeux En Ligne (ARJEL) déploie une campagne de prévention à l'attention des parieurs sportifs. Celle-ci s'appuie notamment sur la diffusion d'une mini-série en cinq épisodes sur les réseaux sociaux. Seuls les deux premiers sont pour l'instant visionnables.
Sollicitée par Winamax, l'ARJEL procède dans une décision datée du 8 février à une série d'ajouts. La plupart posent les bases d'une extension du JDE à de nouveaux faits de jeu, tant en Ligue 1 qu'en Ligue des Champions et en Coupe du Monde. En tennis, les qualifs des tournois du Grand Chelem s'ouvrent également aux paris.

Le dernier bulletin trimestriel de l'Autorité de Régulation des Jeux En Ligne (ARJEL) confirme la bonne dynamique du marché français des paris sportifs, et même l'amplification du mouvement. Les trois derniers mois de 2017 ont ainsi été ceux de tous les records.

Sollicitée par Winamax et France-Pari, l'Autorité de Régulation des Jeux En Ligne (ARJEL) procède à deux élargissements de la liste des supports de paris autorisés. Le plus significatif concerne la possibilité pour un opérateur de proposer une fantasy league sur le Tour de France dès l'été prochain.

Il n'est pas rare qu'un opérateur de paris sportifs limite le montant des mises de certains de ses clients, notamment lorsque ces derniers parviennent à dégager des gains substantiels. Dans une délibération en date du 23 novembre, l'Autorité de Régulation des Jeux En Ligne (ARJEL) rappelle que cette pratique est très strictement encadrée par la loi.
Active à l'international depuis plusieurs années, la société Vivaro Betting a obtenu un agrément auprès de l'ARJEL le 14 septembre dernier. Dans une nouvelle décision datée du 23 novembre, le régulateur autorise cet opérateur à déployer son offre de paris sportifs depuis le nom de domaine pasinobet.fr. Une marque historiquement associée au Groupe Partouche.

La tendance ne se dément pas : le marché des paris sportifs en ligne est en plein boum. Au troisième trimestre, les mises enregistrées par les bookmakers ont atteint 549 millions d'euros, soit une augmentation de 23 % sur un an. Une poussée d'autant plus spectaculaire qu'à la même période l'an dernier se déroulaient l'Euro et les Jeux Olympiques.

Dans une décision en date du 19 octobre, l'Autorité de Régulation des Jeux En Ligne (ARJEL) ajoute des compétition de basket et de hockey sur glace à sa liste des supports de paris autorisés. Sollicité à propos du championnat de France de football féminin, le régulateur se range en revanche à l'avis défavorable de la FFF.

Dans un article publié ce 11 octobre et intitulé Du rififi dans les paris sportifs en ligne, Le Monde exhume une décision du Tribunal de grande instance de Paris en date du 25 avril. Le juge y condamne la Française des Jeux à verser près de 19 000 euros à un fidèle client de Parions Web. La somme en question couvre des gains obtenus en mettant à profit des erreurs de cotes.
Dans une décision en date du 14 septembre, l'Autorité de Régulation des Jeux En Ligne (ARJEL) accède à la demande de la société Vivaro Limited et lui attribue l'agrément nécessaire pour déployer une offre de paris sportifs en ligne en France. Ladite offre, précise le texte, sera prochainement accessible depuis le nom de domaine vbet.fr.
Suite à des demandes formulées par la Française des Jeux et Betclic, l'ARJEL procède à une nouvelle mise à jour de la liste des supports de paris autorisés. Les ajouts en question concernent principalement le rugby, tant sur le plan des compétitions que des types de résultats pariables.
La liste des supports de paris autorisés par l'ARJEL établit que quand le classement d'une équipe de Ligue 2 ne peut plus évoluer, ou pas suffisamment pour lui permettre d'atteindre la position de relégué ou de promu, alors ses matchs ne peuvent plus faire l'objet de paris. En conséquence, exit Sochaux-Amiens et Le Havre-Niort cette semaine.

Le gouvernement a annoncé il y a quelques jours, dans un communiqué, la fin de l'expérimentation du "live betting" dans une centaine de points de vente de la Française des Jeux. Cette décision fait suite aux manifestations parisiennes des organisateurs de courses, France Galop et le Trot.
Suite à une demande formulée par Unibet, l'ARJEL procède à une mise à jour des compétitions de beach volley susceptibles de faire l'objet de paris. Cet ajustement ouvre notamment la porte aux matchs des FIVB World Tour Finals. Et pour le cyclisme, on peut faire quelque chose ?

Mediapart affirme que des membres du club de Viry-Châtillon (CFA) sont soupçonnés d'avoir parié sur la défaite de leur équipe face au Poiré-sur-vie (DH), le 7 janvier dernier, lors d'un 32e de finale de Coupe de France. La Plateforme nationale de lutte contre la manipulation des compétitions sportives confirme qu'une enquête est en cours.
Suite à des requêtes présentées par Betclic, l'ARJEL procède par une décision en date du 19 janvier à l'élargissement de la liste des supports de paris autorisés. La manœuvre concerne exclusivement des compétitions de basket : Coupe d'Allemagne, Coupe et Super Coupe d'Italie, Coupe et Super Coupe d'Espagne. À l'inverse, le championnat australien de football fait les frais de réserves formulées par la FFF et le ministère des sports.
À la demande de plusieurs opérateurs, l'ARJEL élargit à nouveau la liste des supports de paris par une décision en date du 15 décembre. Les offres de fantasy league en football et en NBA sont concernées au premier chef, mais deux nouvelles compétitions s'ajoutent également à la liste : la Ligue des Champions de hockey sur glace et le NCAA en basket US.

Dans une décision en date du 10 novembre, l'Autorité de Régulation des Jeux En Ligne (ARJEL) ajoute les championnats chilien, mexicain et colombien de football à la liste des compétitions susceptibles de faire l'objet de paris en France. Le cyclisme et le rugby sont également concernés par des ajustements à la marge.

Dans une décision en date du 15 septembre, l'Autorité de Régulation des Jeux En Ligne procède à une extension de la liste des supports de paris autorisés. Les ligues de fantasy football sont notamment concernées, avec à l'avenir une plus grande diversité des critères de performance éligibles.