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Tamerlan

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Tout ce qui a été posté par Tamerlan

  1. Gagner en paris rugby

    Salut à tous, Avec le début de cette nouvelle saison de rugby, j'ai décidé de partager ici un dossier "technique" que j'avais rédigé la saison dernière pour les abonnés de Janusport.com. J'en réaliserai une version renforcée et actualisée dès que possible mais en attendant, bonne lecture En plus de nos analyses de match, l’équipe de Janusport souhaite vous faire progresser en tant que parieur autonome. Notre tipster rugby vous propose donc aujourd’hui de vous faire découvrir ses astuces et conseils pour maximiser vos gains en paris rugby. Réactivité et diversité Les bookmakers français ont des cotes moins intéressantes que leurs concurrents étrangers, il est donc très important, pour être largement gagnant en paris rugby, de connaître la date de sortie des cotes et d’anticiper leurs éventuelles évolutions. Les paris sont comme les brocantes, les bonnes affaires sont pour les lève-tôt, les plus réactifs, tandis que les lève-tard repartent avec des mugs en céramique ou se retrouvent à « forcer un bet ». Le site ParionsSport de la FDJ est le premier à sortir ses cotes, généralement le lundi midi pour les matchs du week-end, suivi de près par PMU qui offre des cotes plus attractives. Bwin et Betstars proposent des cotes parfois supérieures à PMU mais leurs cotations sont disponibles plus tardivement. Le parieur se retrouve donc parfois devant un choix cornélien : prendre un pari sur PMU dès le lundi ou attendre des offres éventuellement plus intéressantes sur Bwin et Betstars. Notre tipster rugby procède de la façon suivante : si la cotation est largement supérieure à sa prévision, le pari est pris dès le lundi sur PMU (e.g Munster contre Leicester @ 1.44 sur PMU un lundi estimé à 1.25, baisse à 1.32 le lendemain et ouverture de Bwin @ 1.28 le mercredi). si la cotation est légérement supérieure à sa prévision, attente des cotations de Bwin et Betstars. Trois bookmakers nous semblent donc indispensables : PMU, cotes intéressantes et diversité des paris proposés (nombre d’essais, marqueurs d’essais, …) mais paris avec handicap en nette baisse (1.75 vs 1.75). Bwin, cotes parfois supérieures à celle de PMU en 1N2. Betstars, souvent les meilleures cotes mais la cotation est effectuée la veille ou le jour du match et laisse donc moins la place à une cotation beaucoup trop élevée. Paris avec handicap souvent intéressants (1.91 vs 1.91). Peaky Blinders, meilleur bookmaker 2016 Les compositions d’équipe Les règles concernant la publication d’équipe sont claires. Les clubs de rugby français (Top 14 et Pro D2) doivent transmettre à la LNR leur XV titulaire 24h avant le coup d’envoi du match. Le délai est doublé à 48h pour les rencontres internationales. Si des changements sont opérés entre la publication et le coup d’envoi, ils doivent être justifiés par un certificat médical. Certains entraineurs (notamment Patrice Collazo de la Rochelle) brouillent cependant parfois les pistes en annonçant un joueur « incertain » et en le titularisant au dernier moment. Dans ce cas, nul besoin de certificat médical mais cela signifique mécaniquement que l’équipe alignée ne peut qu’être meilleure que ce que la composition annonçait. Ces cas sont néanmoins extrêmement rares. Les compositions d’équipe sont évidemment importantes dans votre choix de pari mais il est très important de ne pas les essentialiser. Les hommes ne font pas tout. Le collectif, si. Une équipe A’, même B, peut être très compétitive et l’homogénéité de certaines équipes (telles l’UBB), pourrait vous jouer des tours. Il ne faut donc pas s’intéresser aux joueurs absents mais surtout aux joueurs présents. Ne vous demandez pas quels joueurs sont blessés ou laissés au repos, mais quels joueurs débutent le match. Surtout, l’analyse du jeu doit primer. Une équipe comme le Connacht, qui prône un jeu à risques, pourra être extrêmement performante contre des équipes plutôt faibles mais aura beaucoup plus de difficultés contre des équipes aux défenses agressives et bien organisées telles le Racing, Montpellier ou les Saracens. Demandez-vous toujours quels sont les points forts et les points faibles des équipes sur lesquelles vous parier. Cette équipe est-elle indisciplinée ? Dans ce cas, l’équipe adverse a-t-elle un excellent buteur ? Quels sont les résultats de l’équipe qui m’intéresse contre des équipes qui ont le même style de jeu que l’adversaire du jour ? Lesgourgues et Serin de l’UBB, bonnet blanc et blanc bonnet Le rugby, une histoire de blocs Le rugby est un sport extrêmement éprouvant physiquement et les coachs sont obligés de procéder à de nombreux turn-over lors d’une saison pour maximiser leurs chances de bien figurer au classement final. Comme nous vous l’expliquions plus tôt, les compositions d’équipes ne font pas tout mais elles doivent être prises en compte dans la mesure où elles influent considérablement les cotations. Il est tout à fait possible d’anticiper ces évolutions en fonction du calendrier et du type du match. Prenons l’exemple du bloc de fin d’année de Vannes en Pro D2 : Receptions de Carcassonne, Béziers et Mont-de-Marsan Déplacements à Oyonnax et Aurillac La marche étant trop haute à l’extérieur face à des équipes membres du Top 4 de Pro D2, les coachs bretons font logiquement l’impasse sur les déplacements pour aligner l’équipe la plus compétitive possible lors des matchs à domicile. Il n’est pas nécessaire dans ce cas d’attendre la composition d’équipe, et le changement de cote qui en découle, pour savoir sur quels matchs les impasses seront faites. De la même façon, des matchs à enjeux (premiers matchs de Champions Cup par exemple) ne font jamais l’objet de turn-over et il n’est donc pas nécessaire d’attendre la composition officielle pour deviner quels joueurs seront alignés. Les paris avec handicap et les bonus Ce type de pari n’est pas celui que nous préférons sur Janusport sauf read particulier ou s’il correspond plus ou moins à un écart proche du bonus défensif. En effet, en Top 14 et en Pro D2 une défaite par 5 points ou moins est synonyme de l’obtention d’un point de plus au classement. Un handicap à +5 ou -5 assure donc que les équipes joueront le jeu jusqu’au bout pour obtenir le bonus défensif ou priver l’équipe adverse de celui-ci. Il n’y a rien de plus frustrant que de réaliser un pari à handicap et de voir les joueurs sur lesquels on a décidé de miser lâcher le match par absence d’enjeu. Mais est-ce leur faute ou la nôtre ? Nous vous conseillons donc d’ajuster vous-mêmes vos paris avec handicaps pour qu’ils correspondent aux bonus défensifs. Pour éviter au maximum ce genre de situations, un petit rappel s’impose : Bonus défensif pour une défaite par 5 points ou moins : Top 14, Pro D2 Bonus défensif pour une défaite par 7 points ou moins : Champions Cup, Challenge européen, Premiership, Pro 12, Super Rugby Bonus offensif pour 3 essais inscrits de plus que son adversaire : Top 14, Pro D2, Super Rugby Bonus offensif pour 4 essais inscrits : Champions Cup, Challenge européen, Premiership, Pro12 Over points ou over essais Tout d’abord, l’équipe du Janusport n’est que peu friande des overs points sur l’ensemble d’un match. Elle nous semble motivée par un raisonnement un peu simpliste « deux équipes joueuses s’affrontent donc le score sera large » à des cotes peu excitantes d’over/under @ 1.7. En revanche, nous nous penchons souvent sur des overs points ou essais d’une équipe dans les matchs qui s’annoncent déséquilibrés. Une équipe largement favorite est également souvent la proie au relachement et l’équipe adverse peut en profiter une fois l’écart creusé. Dans ce type d’affiches, nous vous conseillons plutôt de miser sur un over essais de l’équipe A ou B car une équipe largement menée au score préférera aller en touche que tenter des pénalités. Vu les différences de cotes (par exemple 1.7 pour 11 points et 2.5 pour + d’1,5 essai), notre préférence se porte souvent sur un over d’essais pour une équipe en particulier. Les marqueurs d’essais Les paris sur les marqueurs d’essais trouvent souvent grâce aux yeux de l’équipe de Janusport mais plusieurs conseils doivent impérativement être suivis pour maximiser votre profit : Intéressez vous en priorité aux grosses cotes lorsque vous misez sur un marqueur d’essai. Ayez toujours à l’esprit qu’il n’est pas grave de perdre un pari, votre priorité doit aller à la recherche de la value, de la rentabilité. Si vous avez une aversion pour le risque commencez par miser tout petit et vous verrez qu’à long-terme, si vous choisissez bien vos joueurs, le résultat peut-être très intéressant. Si un ailier a de grandes chances de marquer face à une équipe très faible les cotes sont souvent inférieures à 2 dans ce cas de figure et ne couvrent que rarement la variance inhérente à ce genre de paris (blessures notamment). Si vous choisissez de parier sur un avant, essayez de vous renseigner s’il est le porteur de balle sur les mauls offensifs. Ce rôle incombe le plus souvent au numéro 8 mais parfois également au talonneur (Szarzewski par exemple) ou à d’autres postes. Regardez l’historique du joueur contre l’équipe adverse ou celles qui ont un style proche de celles-ci. Vous pouvez par exemple comparer les résultats des Zebre avec ceux de Trévise ou de Worcester avec ceux de Bristol. Regardez également l’historique récent de l’équipe adverse. Un type de joueurs, les avants ou l’arrière par exemple, est-il surreprésenté dans les marqueurs d’essais des équipes qu’elle affronte? Vous venez peut-être de mettre le doigt sur un point faible d’une équipe et vous devez en tenir compte dans votre sélection de paris. Estimez le temps de jeu de votre joueur. Joue-t-il souvent des matchs dans leur intégralité ? Revient-il de blessure ou de sélection ? L’équipe prépare-t-elle un match important le week-end suivant ? Soyez attentif à la sortie des cotes ! Les bonnes affaires se font souvent à ce moment-là et faites jouer la concurrence entre les bookmakers ! Nakarawa @ 7, le premier flash tips de Janusport Un bon artisan a besoin de bons outils Quelques liens et applis mobiles qui nous semblent utiles dans votre processus de prise de décision : Eurosportplayer.fr : abonnement payant mais permet de voir l’intégralité des rencontres de Pro D2. Indispensable tant la clé est de regarder les matchs et comprendre le jeu. Flashrésultats.fr : utile pour connaître l’historique entre deux équipes. Itsrugby.fr : database de joueurs. Complète mais parfois peu actualisée. Qui est donc ce fidjien ? Son parcours est sur itsrugby. Ultimate Rugby : bonne application (en anglais) pour notamment avoir accès rapidement au temps de jeu récent de certains joueurs. Nombreux clubs et compétitions couverts, lives commentés également disponibles mais pas mal de bugs et très peu de statistiques. Pro12rugby.com : leur partenariat avec Opta leur permet de fournir des statistiques (franchissements, défenseurs battus, mètres gagnés,…) très utiles pour la sélection des marqueurs d’essais. Les forums de supporters : cette source doit être utilisée avec une grande précaution mais elle peut vous permettre d’avoir des échos sur la composition des groupes et notamment d’éventuels retours de blessures. http://janusport.com/gagner-paris-rugby-vip/
  2. Le site est assez moche, pas de dépôt via Paypal et mêmes cotes et réseau que Pasinobet (pas possible d'avoir un compte sur les deux books). Les limites de mise générales sont assez restrictives sur les grosses cotes et petits marchés. Après c'est bien quand même d'avoir un compte dessus car les cotes sont de temps en temps les meilleures du marché, notamment sur les outrights. Un book de complément pas indispensable si tu paries de façon récréative.
  3. Super Rugby Aotearoa

    Trois ans que je n'avais pas posté dans la section rugby du BDS et vu que je me suis mis à la rédaction d'une preview du Super Rugby Aotearoa qui commence ce week-end, je me suis dit que ça pouvait être sympa de la poster ici. Nouvelle compétition, nouvelles règles Avant de rentrer dans le vif sujet et dans la présentation des effectifs, intéressons-nous rapidement à l’organisation de la compétition et aux règles spécifiques de cette première édition du Super Rugby Aotearoa. La compétition rassemble les 5 franchises néo-zélandaises (Crusaders, Blues, Chiefs, Highlanders et Hurricanes) qui s’affronteront toutes par deux fois. Au terme de cette phase régulière de dix journées, un champion sera proclamé à la mi-août. La Sanzar adapte ses règles avec un but clairement assumé, celui de favoriser un peu plus le spectacle proposé : Golden point : En cas de match nul dans le temps réglementaire, les équipes disputent une prolongation de 10 minutes. La première équipe qui marque un drop, une pénalité ou un essai, l’emporte. Si les équipes n’arrivent pas à se départager à l’issue de ces 10 minutes, le match nul est entériné. Carton rouge : Un carton rouge signifie désormais une exclusion d’une durée de 20 minutes. Pour autant, le joueur sanctionné ne peut pas revenir sur le terrain mais peut seulement être remplacé une fois ce délai passé. « Breaking down the breakdown » : Volonté de durcir l’application des règles pour fluidifier le jeu : plaqueur qui doit se sortir plus rapidement, « extra focus » (selon la formulation officielle) sur la ligne défensive de hors-jeu, etc. En clair, une application qui pourrait ressembler à ce qui se fait en Seven au niveau du breakdown et devrait avantager la continuité du jeu. Vous pouvez retrouver le communiqué officiel, en anglais, juste ici. Passons maintenant à la présentation des forces en présence. Crusaders Historique : Les Crusaders sont les favoris logiques des bookmakers pour cette édition spéciale du Super Rugby Aotearoa. Les hommes de Scott Robertson, un temps pressenti pour prendre les rênes des Blacks, ont remporté les trois dernières éditions de la version « classique » du Super Rugby sans jamais perdre plus de deux matchs de la saison. Tout autre résultat qu’une victoire finale serait donc une contre-performance pour l’équipe de Christchurch, invaincue à domicile depuis 34 rencontres. Effectif : A l’intersaison, l’équipe a perdu plusieurs cadres majeurs comme Kieran Read, n°8, Ryan Crotty, régulateur de la défense, Matt Todd, Owen Franks ou encore Israel Dagg soit 375 sélections chez les Blacks à eux cinq. Sam Whitelock s’était également envolé pour la Top League mais il fera son retour pour les prochaines semaines de compétition et formera un attelage très solide avec Scott Barrett. Scott Robertson doit donc compter sur la nouvelle génération pour reprendre le flambeau. On pourrait même parler de deux nouvelles générations si on veut rentrer dans le détail. On pense tout d’abord à la vague de jeunes joueurs qui ont impressionné en Mitre 10 Cup ces derniers mois et représentent très certainement l’avenir des Blacks à moyen terme. Le très prometteur Braydon Ennor devrait être associé à Jack Goodhue au centre, Will Jordan peut indifféremment jouer à l’aile ou à l’arrière et Quinten Strange, le deuxième-ligne des Makos, cherchera à gratter du temps de jeu après sa fracture de la main en pré-saison. On sera également très attentif à la tenue de la troisième-ligne new-look qui n’a pas eu à rougir de ses premières sorties en ouverture du Super Rugby 2020. L’autre nouvelle génération qui devra hausser son niveau de jeu est celle qui s’est récemment installée chez les Blacks. On suivra de près les performances de Sevu Reece ou George Bridge qui doivent « step up » à leur tour après une Coupe du Monde délicate. A l’ouverture, pas d’inquiétude en revanche puisque c’est l’excellent Richie Mo’unga qui mènera ses troupes à la bataille. L’effectif des Crusaders est donc toujours très riche mais l’édifice semble moins infaillible que les années passées. Style de jeu : Les Crusaders sont une équipe très bien organisée dont émane une vraie force collective, une mécanique froide et terriblement efficace qui étouffe son adversaire en étant très agressif sur le porteur du ballon. Ils sont également très efficaces sur la défense des ballons portés avec un pré-binding entre trois joueurs qui leur permet de mettre rapidement leurs adversaires sur le reculoir. Ce n’est pas un hasard si les Saders étaient la meilleure défense du championnat lors des deux dernières saisons. Leur début de saison de Super Rugby avait été prometteur (5 victoires, 1 défaite) bien qu’ils aient été battus par les Chiefs lors d’un match où Richie Mo’unga était absent. Le changement de génération qui s’opère leur enlève néanmoins quelques certitudes, surtout que la concurrence monte à l’échelle nationale. Mon équipe-type: Moody, Taylor, Alaalatoa – Barrett, Whitelock – Grace, Christie, Sanders – Hill, Mo’unga – Bridge, Goodhue, Ennor, Reece – Havili Blues Historique : Ces dernières années, les Blues sont le Petit Poucet de la conférence néo-zélandaise. L’équipe d’Auckland n’a plus connu les playoffs depuis presque 10 ans malgré de grosses individualités qui ont de tout temps marqué l’histoire du club. La faute, le plus souvent, à un effectif manquant de maturité et parfois même d’un peu de lumière à certains étages. Effectif : Les Blues ont frappé fort ces derniers mois sur le marché des transferts, ils ont même frappé très fort. En recrutant Beauden Barrett et Dan Carter, la franchise d’Auckland a recruté deux légendes du rugby mondial. On a pas de doute sur l’apport rugbystique de Barrett sur le terrain mais il pourrait également tirer ses coéquipiers vers le haut dans l’implication et le professionnalisme. A ce titre, les tests physiques des Blues sont intéressants puisque Beauden Barrett a battu le record national du Bronco Test (test physique en navettes sur un total de 1200 mètres) en le terminant en 4 minutes 12 tandis que sept autres de ses partenaires ont battu leur propre record personnel. Un indicateur intéressant sur un niveau d’exigence en hausse du côté d’Auckland. Dan Carter a enchainé les pépins physiques ces derniers mois et devrait manquer de rythme mais son expérience fera le plus grand bien à un vestiaire composé de joueurs talentueux mais souvent fébriles. Il est probable que Carter soit avant tout utilisé comme un remplaçant de luxe à l’ouverture mais une organisation similaire à celle des Saders en 2015 avec Carter en 5/8, et Barrett dans le rôle de Slade en 10, n’est pas complètement à exclure. Si le physique et les performances suivent pourquoi ne pas non plus donner du vrai temps de jeu à Carter à l’ouverture tout en faisant glisser Barrett à l’arrière. Concernant l’effectif dans sa globalité, il semble un peu déséquilibré avec un embouteillage monstre à l’ouverture (Barrett, Carter, Black, Plummer voire Perofeta) alors que la tenue en mêlée est un peu douteuse et que la signature d’un pur centre de très haut niveau n’aurait pas été de refus après les départs de Nonu et de Sonny Bill Williams. On attendra encore une fois, beaucoup, peut-être trop d’Akira Ioane qui est un peu le symbole des Blues ces dernières années. Un joueur talentueux qui n’en fait peut-être pas assez et qui peine à confirmer. Akira a de l’or dans les mains mais il est souvent nonchalant et se contente de son talent pur pour faire la différence ce qui l’a pour le moment empêché de connaître la grande équipe des Blacks. Espérons que l’éclosion du prometteur Sotutu, qui l’a carrément poussé hors du groupe en début d’année, et l’arrivée de joueurs-modèles le poussent à hausser son niveau de jeu. L’utilisation de son frère, Rieko, sera également à suivre de près. MacDonald l’a fait évoluer tantôt à l’aile tantôt au centre depuis quelques mois et son association avec la petite bombe Telea, pourrait être explosive. Style de jeu : Traditionnellement, les Blues comptent davantage sur les fulgurances de leurs joueurs pour faire la différence que sur une organisation collective bien huilée. C’est une équipe qui souffre de sautes d’humeur et de concentration, coûteuses à très haut niveau. Elle a pourtant un potentiel monstre surtout avec son recrutement XXL. Si tout se goupille bien, les Blues pourrait être la très grosse surprise de cette compétition mais elle présente pour le moment plus d’espoirs que de garanties. Mon équipe-type : Tu’inukuafe, Parsons, Tu’ungafasi – Tuipulotu, Goodhue – Papali’i, Sotutu, Gibson – Nock, Barrett – Ioane, Carter, Faiane, Telea – Duffie Il est peu probable que MacDonald parte avec cette organisation de sa ligne arrière (Barrett 10, Carter 12) mais c’est une expérimentation que j’aimerais voir si la condition physique de Carter le lui permet. Chiefs Historique : Depuis 2012, les Chiefs se qualifient chaque année pour les playoffs mais il leur a toujours manqué ce petit quelque chose pour décrocher le titre. L’étincelle pourrait-elle venir cette année du banc de touche avec l’arrivée du réputé Warren Gatland ? C’est en tout cas avec le statut de deuxième favori qu’ils vont aborder la compétition. Effectif : Au premier regard, l’effectif des Chiefs a de la gueule. L’équipe de Waikato a certes perdu Brodie Retallick à l’intersaison mais conserve ses stars internationales (Sam Cane, Brad Weber, Damian McKenzie, Anton Lienert-Brown) auxquelles viennent s’ajouter Aaron Cruden, auteur d’un bon début de saison, et Quinn Tupaea, une pépite du rugby néo-zélandais qui a fait les beaux jours de Waikato en Mitre 10 Cup (7 essais en 9 titularisations au centre). Pour trouver la recrue phare, il faut pourtant se tourner du côté du staff puisque c’est Warren Gatland qui a pris les rênes de l’équipe. L’ancien sélectionneur du Pays de Galles, réputé comme l’un des tout meilleurs techniciens du monde a vite mis sa patte sur le style de jeu de l’équipe. Les joueurs ont semblé progresser, notamment défensivement, à l’image d’Alaimalo qui n’a perdu que peu de duels cette année mais cela n’a pas empêché les Chiefs d’avoir de véritables trous d’air, notamment dans l’attitude et l’engagement. On pense évidemment à cette prestation honteuse à domicile contre des Brumbies diminués et dans une moindre mesure à cette défaite frustrante face aux Canes en clôture de l’édition régulière de Super Rugby. C’est un peu le revers de la médaille de certaines équipes extrêmement talentueuses qui pensent pouvoir forcer à tout moment la décision mais ne mettent pas forcément tous les ingrédients pour l’emporter. L’équipe n’a pas non plus été épargnée par les blessures ces derniers mois. Si Nathan Harris devrait progressivement retrouver les terrains, et aura la lourde tâche de renvoyer Taukei’aho sur le banc, ce ne sera pas le cas d’Atu Moli, Sam McNicol, Michael Allardice ou de Laghlan McWhannell tous forfaits pour la saison. Les Chiefs conservent de la qualité dans la cage mais il leur manquera d’un peu de profondeur à ces postes clés. Attention néanmoins à ne pas les sous-estimer, leur ligne arrière est aussi dangereuse qu’excitante tandis qu’ils comptent dans leurs rangs des joueurs un peu méconnus comme Lachlan Boshier, surnommé le “king of turnovers” par la presse locale. Style de jeu : Les Chiefs ne sont pas loin d’avoir la ligne arrière la plus excitante de cette édition du Super Rugby mais les nombreuses blessures qui touchent leur Tight 5 ne leur permettent plus de voir venir. S’ils enrayent la spirale de blessures et trouvent cette régularité, notamment contre les équipes jugées un peu plus faibles, ils seront des candidats sérieux à la victoire finale. Mon équipe-type: Ross, Taukei’aho, Laulala – Ardron, Brown – Cane, Sowakula, Boshier – Weber, Cruden – Alaimalo, Lienert-Brown, Tupaea, Stevenson – McKenzie Hurricanes Historique : Deuxième équipe néo-zélandaise la plus titrée dans l’histoire du Super Rugby, les Hurricanes semblent affaiblis à l’approche de cette édition spéciale. L’équipe de Wellington peut-elle se remettre du départ de son maître à jouer Beauden Barrett ? Effectif : Aaron Cruden, Beauden Barrett, Dan Carter, Richie Mo’unga et Josh Ioane. Voici les noms des ouvreurs des équipes que les Hurricanes auront à affronter dans les prochaines semaines. C’est évidemment dans ce secteur-clé que le bât blesse pour les Canes qui comptent dans leurs rangs les seuls Jackson Garden-Bachop et Fletcher Smith pour évoluer à l’ouverture. Ce sont évidemment de bons joueurs de rugby qui ont déjà fait les beaux jours de Wellington et de Waikato en Mitre 10 Cup mais une classe d’écart les sépare encore de la concurrence nationale, et donc mondiale. Malgré la présence de plusieurs internationaux (Coles, Fifita, Savea et le droitier en pleine progression Tyrel Lomax), le pack des Canes n’apparaît pas non plus comme le plus performant de la compétition. Sur le papier, la première ligne est compétitive mais encore un peu jeune et indisciplinée. S’ils veulent rivaliser contre les meilleures équipes du pays, c’est tout le pack des Canes qui devra hausser son niveau de jeu. C’est donc plutôt des lignes arrières que l’on attendra le salut. Encore une fois, l’équipe se reposera sur ses très fortes individualités telles que Ngani Laumape, Jordie Barrett ou Ben Lam quasiment injouables en 1 contre 1. Mais attention, Jordie Barrett est blessé à l’épaule et d’ores et déjà forfait pour la rencontre du week-end tandis que Ben Lam était initialement attendu dès le 1er août à Bordeaux. Peut-être que la nouvelle recrue de Laurent Marti profitera d’une dérogation pour jouer l’intégralité de la compétition néo-zélandaise mais rien n’a filtré pour le moment. Collectivement, on attend de voir ce que l’équipe du coach Jason Holland, fraîchement nommé, va donner. Les Canes avaient été démolis par les Stormers (27-0) en ouverture de la saison et s’étaient inclinés à domicile contre les Blues notamment à cause d’une indiscipline, très coûteuse à ce niveau. Style de jeu : Les Hurricanes n’aiment rien de plus que le “running rugby” mais il ne faut pas oublier les fondamentaux et l’effort devra être fait devant pour rivaliser avec les Crusaders et les Chiefs. On suivra de près l’évolution de la blessure de Jordie Barrett qui est également le buteur de l’équipe. Les prestations de Fletcher Smith et de Garden-Bachop seront déjà suffisamment scrutées et il n’est pas nécessaire de leur ajouter la pression du but. L’équilibre de l’équipe semble un peu précaire pour viser mieux qu’un Top3 à l’heure actuelle mais des upsets sont à prévoir tant l’équipe est talentueuse. Mon équipe-type : Numia, Coles, Lomax – Blackwell, Fifita – Savea, Evans, Kirifi – TJ Perenara, Smith – Lam, Laumape, Aso, Goosen – Barrett Composition peu probable mais je trouve le pack plus équilibré lorsque Fifita monte dans la cage aussi bien avec Wellington qu’avec les Canes. Highlanders Historique : Qu’il semble loin le titre de 2015 quand les Highlanders comptaient dans leurs rangs Sopoaga, Fekitoa, Naholo ou encore Ben Smith, tous au sommet de leur art. Sans ses glorieux anciens, les Highlanders peuvent-ils échapper à la dernière place du Super Rugby Aotearoa ? Effectif : Le malheur quand on regarde l’effectif des Landers, c’est de ne pas vraiment y voir de points forts. Évidemment, il subsiste des motifs d’espoir qu’il s’agisse de la charnière Aaron Smith – Josh Ioane qu’Aaron Mauger souhaite installer dans la durée après quelques errements, de l’énorme Shannon Frizell qui a le potentiel pour devenir une référence mondiale à son poste ou de l’impatience qui nous gagne de voir évoluer les 7istes Nareki et Koroï. Le retour à la compétition de Milner-Skudder, après deux ans d’absence, est également une belle nouvelle aussi bien pour le joueur que pour la franchise. Mais dans quel état physique allons-nous le retrouver ? Il est en tout cas trop juste pour les premières rencontres et est attendu au mieux en troisième semaine de compétition. Passés ces éléments favorables, l’édifice semble léger. Le tight five ne présente aucune garantie, aucun joueur n’est international dans les lignes arrières en dehors de la charnière, et on a presque l’impression de voir une belle équipe de Mitre 10 Cup plutôt qu’un concurrent sérieux au Super Rugby. Le terrain ne ment pas puisque les Landers étaient derniers de la conférence néo-zélandaise avant l’interruption avec un bilan d’une victoire en cinq matchs et ce malgré un calendrier plutôt favorable. Individuellement et collectivement, les Landers ne semblent pas avoir la clé et tout autre résultat qu’une dernière place serait déjà une performance tout à fait honorable. Style de jeu : Les Highlanders sont friables à peu près dans tous les secteurs de jeu. Ils manquent d’un peu de puissance devant et de talent individuel pour des différences derrière. C’est pas gagné. Mon équipe-type : Johnstone, Dixon, Tokolahi – Parkinson, Parete – Frizell, Ben-Nicholas, Lentjes – Smith, Ioane – Nareki, Tompkinson, Thompson, Koroi – Milner-Skudder Pronostic final Crusaders Chiefs Blues Hurricanes Highlanders Malgré un changement de génération, les Crusaders sont les favoris logiques de la compétition. Les Chiefs pourraient les pousser dans leurs derniers retranchements mais l’homogénéité et la profondeur de l’effectif devraient faire la différence. On suivra de près la performance des Blues, mais l’équipe d’Auckland présente pour le moment davantage d’espoirs que de certitudes. Le pack des Hurricanes et l’absence d’un 10 de haut-niveau semblent rédhibitoires pour espérer mieux qu’un Top3 tandis que les Highlanders devraient finir bon derniers de la compétition.
  4. Honnêtement je trouve ça surprenant que le volume de mises ne soit divisé "que" par 5. Y avait que du championnat biélorusse, du snooker et de la NRL sur la dernière quinzaine ...
  5. C'est un signe positif, ça veut dire que la FDJ investit sur les paris sportifs mais je me demande les retombées réelles de ce partenariat vu le contenu de l'accord
  6. Fantasy League Janusport TDF2018

    Le rendez-vous de la fantasy league Janusport.com est de retour avec le début du Tour de France Froome, pas Froome ? On a rarement eu une sélection aussi dure à réaliser de mémoire de fantaysiste mais rarement eu 450 euros à gagner ! Le règlement complet est dispo sur notre site : https://janusport.com/fantasy-tour-de-france-2018/ Vous pouvez me mp vos noms d'équipe sur le forum pour l'inscription !
  7. Fantasy League Janusport TDF2018

    Ouai on a pas eu le choix surtout vu le timing que je trouve vraiment limite de la part d'ASO ...
  8. Fantasy League Janusport Giro101

    Le rendez-vous de la fantasy league est de retour avec le début du Giro 2018 Le règlement complet est dispo sur notre site : https://janusport.com/fantasy-giro2018/ Vous pouvez me mp vos noms d'équipe sur le forum.
  9. Super Rugby 2018

    Oui c'est certain que les Rebels et le Reds pourront pas jouer grand chose cette saison. Il y a quand même un peu plus d'espoir du côté des Rebels qui vont récupérer Parling et Koroibete dans les semaines à venir et il faut leur laisser un peu de temps car l'effectif a été chamboulé (Genia, Coleman, Faulkner, Haylett-Petty) mais une qualif en playoffs serait déjà un excellent résultat.
  10. Super Rugby 2018

    Pas le temps de faire une analyse globale de la saison mais je vous poste ici ma preview de Rebels / Reds à l'occasion de la reprise de la compétition : C’est le retour du Super Rugby sur Janusport.com ! Aucune surprise lors de la première journée qui impliquait les franchises sud-africaines, les Stormers ont battu les Jaguares (28-20) et les Lions sont venus à bout des Sharks (26-19). Les cotes sur ces matchs ne nous semblaient pas intéressantes et Tamerlan, notre tipster rugby, a préféré attendre le début de saison des franchises australiennes pour se mettre au travail. Analyse de Rebels / Reds dont le coup d’envoi sera donné vendredi à 09h45. Rebels / Reds L’analyse Bonne nouvelle pour les Reds, Brad Thorn, le nouvel head-coach, s’est enfin débarassé de Quade Cooper dont les prestations frôlaient l’indigence depuis plusieurs saisons. Il formait l’année dernière la plus mauvaise charnière de Super Rugby avec Nick Frisby, que l’on a entraperçu sur les pelouses de Top 14 sous le maillot de l’UBB. Malheureusement pour les Reds, les solutions manquent à ce poste et c’est Jono Lance, passé par Worcester cette saison, qui devrait débuter en tant que titulaire. Les Reds auront décidément beaucoup fait parler d’eux en cette intersaison, cette fois par l’intermédiaire de Karmichael Hunt. L’arrière / premier centre a, à nouveau, été arrêté en possession de drogue à la sortie d’une boîte de nuit et ratera le début de saison de son équipe. Quelques motifs d’espoir néanmoins avec l’émergence de jeunes joueurs comme Rodda, blessé, ou Perese mais tout cela semble mince pour vivre une belle saison surtout qu’ils ont perdu leur ailier Chris Kuridrani. Concernant les Melbourne Rebels, on vous avoue tout de suite qu’on aurait aimé ne plus les voir en Super Rugby cette saison. Une franchise australienne devait disparaître et c’est la Western Force qui s’est éteinte alors qu’elle avait livré une saison remarquable. Si les Rebels ont perdu l’excellent Sean McMahon, ils se sont considérablement renforcés avec les arrivés de Will Genia, n°9 des Wallabies, Adam Coleman, Geoff Parling et Dane Haylett-Petty. Avec les prolongations de Mafi, Koroibete et l’excellent Reece Hodge, les Rebels pourraient vivre une belle saison si la sauce prend. Comme souvent avec les franchises australiennes, ll’inquiétude viendra en particulier de la profondeur à l’ouverture mais le rookie Tayler Adams ou Debreczini n’auront pas grand mal à être plus performants que Ben Volavola. Nous pensons donc que les Rebels devraient venir à bout des Reds en fin de cycle ce vendredi ! Les compos A venir. Notre pronostic Nous vous conseillons de miser 2,5u sur une victoire des Melbourne Rebels @ 1.50 sur ParionsSport 1u sur une victoire d’au moins 5 points (Melbourne -4) @ 1.80 sur ParionsSport https://janusport.com/super-18-rebels-reds/
  11. Pro 14 2017/2018

    Nouveau conseil public de Janusport.com que j'aime beaucoup à la fois car la cote est belle et car l'histoire derrière est plutôt sympa. Par contre, j'ai trainé : coup d'envoi à 20H ! Munster / Glasgow Warriors L’analyse Le Munster et les Glasgow Warriors font partie des équipes les plus fortes de la Ligue Celtique. La lutte pour le titre sera compliquée tant le Leinster semble un cran au-dessus cette saison mais tout est possible dans cette compétition qui a sacré les Scarlets l’année dernière et le Connacht il y a trois ans. Cette rencontre a lieu lors de la fenêtre internationale, ce qui signifie que les effectifs seront largement amputés de leurs meilleurs joueurs. C’est encore plus vrai pour Glasgow qui fournit la grande majorité du XV écossais et même son sélectionneur puisque Gregor Townsend a quitté les Warriors en fin de saison dernière. Le cote du Munster @ 1.35 est tout à fait jouable mais c’est un bet un peu différent qui nous intéresse aujourd’hui. Essai de Simon ZEBO (Munster) 2u @ 2.40 sur PMU En partance pour le Racing, l’arrière irlandais, meilleur marqueur de l’histoire du Munster, a été privé de Tournoi des VI Nations. C’est probablement une grosse déception pour lui mais un soulagement pour le staff du Munster de compter un joueur d’une telle qualité dans ses rangs en cette période de l’année. Ce match sera très particulier pour lui car il aura lieu exceptionnellement à Musgrave Park, le stade de Cork, sa ville de naissance. Toute sa famille sera là pour ce match d’adieu à sa ville et il voudra à n’en pas douter montrer à Joe Schmidt, le sélectionneur irlandais, qu’il a fait une erreur en ne le retenant plus en sélection. A n’en pas douter, ses coéquipiers voudront le faire briller et il profitera d’un très large turn-over côté écossais pour surement franchir la ligne d’essai. Pour rappel, la dernière fois que nous avions parié sur un marqueur d’essai pour une raison extra-sportive, il s’agissait de Ross Ford @ 4.35 lorsqu’il était devenu le joueur écossais le plus capé de l’histoire et le bet était passé en 20 minutes ! https://janusport.com/pro-14-munster-glasgow-warriors/
  12. Super Rugby 2018

    J'ai presqu'envie de dire que des bets Blues MT / x FM pourraient être intéressants. Là, j'ai vu moins d'erreurs que d'habitude côté Blues donc si j'étais un supporter d'Auckland ce serait un match très encourageant ! 45-19 avec un rouge pour Higginbotham qui facilite le match
  13. Super Rugby 2018

    Superbe première mi-temps avec des séquences de classe de la part des Blues. Ma journée est déjà faite avec l'essai d'Akira Ioane @ 3.60 J'ai presque envie de dire que la seconde mi-temps sera déjà décisive pour la suite de la saison des Blues, elle nous montrera s'ils sont capables de maintenir un haut niveau de performance et de concentration sur 80 minutes cette saison.
  14. Super Rugby 2018

    Sur le long run, je pense vraiment pas qu'ils vont pouvoir lutter avec les Canes ou les Crusaders cette saison. En fait, on avait déjà un peu cette impression l'année dernière avec leurs supers jeunes comme les Ioane mais ils ont vraiment un problème mental dans la gestion des matchs. Ce sont vraiment des sales gosses pétris de talent et je les vois pas forcément gagner en maturité aussi vite. Surtout, leur problème principal sera à l'ouverture ou ça se bouscule pas vraiment alors que les autres franchises ont Barrett, Mo'unga, Sopoaga. Une équipe très talentueuse mais qui gère mal ses matchs, c'est un profil intéressant à bet en underdog surtout qu'ils viennent de gagner le Brisbane Tens ce qui veut pas dire grand chose si ce n'est sur la forme du moment. C'est dispo @ 3.05 max en .fr ce qui me semble décent mais faut pas pour autant sous-estimer les Highlanders qui ont pas perdu grand monde. Banks était important la saison dernière mais c'est parce que Sopoaga était blessé en début de saison et Fekitoa, au-delà de son statut, est plutôt sur la pente descendante. Il reste beaucoup de talent, et d'expérience, avec Squire, Sopo, Naholo, Aaron et Ben Smith donc je les enterrai pas aussi vite.
  15. NBA 2018

    Il a plutôt une très bonne réputation après je regarde pas donc je me prononcerai pas sur le contenu et sa qualité surtout que je suis pas trop la NBA. Juste une petite chose, je suis effrayé par les tickets postés par certains de ses followers qui sont des gros combis de micro-cotes quasiment à chaque journée. Ca fait très joli car y a beaucoup de vert sur les tickets mais c'est une catastrophe, même à assez court-terme. Mais je crois qu'il ne conseille pas vraiment de parier mais qu'il donne juste des avis donc dans ce cas, c'est de la responsabilité des suiveurs.
  16. JDE NBA

    Winamax a lancé la semaine dernière des nouveaux contests NBA dans le JDE. Autant vous dire que c'est pas pour nous déplaire sur Janusport et qu'on a fêté ça avec une victoire dans le 50€ d'hier et un doublé dans le 10€. On a évidemment lancer une section JDE NBA sur un modèle un peu différent de notre section foot, pas d'indispensables, de bonnes affaires et de pari du week-end mais une overview par postes de choix qui nous semblent intéressants. C'est pas exhaustif mais on essaie d'offrir une palette assez large des choix phares. Je mettrai sur le BDS nos previews publiques autant que possible mais la grande majorité sera évidemment en VIP vu la nature "PvP" des fantasy leagues , je vous invite à aller voir directement sur le site pour avoir la jolie mise en page et augmenter notre nombre de visiteurs http://janusport.com/nba-19-dec/ Les matchs Mardi 12 décembre 01h00 : Indiana Pacers – Washington Wizards 02h00 : Minnesota Timberwolves – Phoenix Suns Oklahoma City Thunder – Atlanta Hawks Chicago Bulls – Detroit Pistons Denver Nuggets – Dallas Mavericks Le meneur Russell WESTBROOK (Thunder, 30M) Points JDE lors de la dernière journée : 58,15 Comment passer à côté de Russell Westbrook lorqu’il est possible de le sélectionner ? Le meneur d’OKC est le joueur le plus coûteux du JDE NBA mais il a signé son 13ème triple-double samedi dernier contre les Suns de Phoenix (26 points – 11 rebonds – 22 assists). Oladipo encore incertain pour ce soir, Westbrook devrait une nouvelle fois porter son équipe et avoir un gros temps de jeu. Un investissement indispensable. Eric BLEDSOE (Suns, 18,2M) Il est certain que l’immense majorité des sélectionneurs vont opter pour Westbrook. Mais choisir un meneur moins cher pour disposer d’un budget conséquent pour les autres postes pourrait s’avérer une stratégie intéressante. Dans cette optique, Bledsoe qui possède d’excellentes stats (19.5 pts, 5.4 rebonds, 5.4 passes) est une option crédible. Dans un match Wolves / Suns où la défense ne devrait pas être le maître-mot, il pourrait sortir une grosse performance. Les arrières Jimmy BUTLER (Bulls, 25,7M) En dépit de performances décevantes lors de la double-confrontation contre les Bucks (21-3-3 et 7-7-6), Butler reste une valeur sûre et est susceptible de rapporter de nombreux points JDE. Son prix semble en revanche un peu trop élevé pour en faire un choix optimal. Bradley BEAL (Wizards, 20,7M) Points JDE lors de la dernière journée : 46,5 Bradley Beal is on fire. 41 points inscrits hier face aux LA Clippers 3 rebonds et 3 assists, s’il réalise une performance du même acabit ce soir contre les Pacers, la doublette Beal – Westbrook sera probablement indispensable pour remporter le contest du jour. Zach LAVINE (Timberwolves, 17,9M) Défaite cruelle pour les Wolves samedi dernier contre Houston. Alors qu’ils menaient de 13 points à l’entame du dernier quart, ils sont finalement rattrapés in extremis et battus en prolongation par les Rockets d’Harden. Avec 24 points, 2 rebonds et 6 assists, Lavine a réalisé un match plein et pourrait réediter cette performance ce soir contre les Suns, la deuxième plus mauvaise défense de la ligue. Dorian FINNEY-SMITH (Mavericks, 4,5M) Ce n’est certainement pas lui qui vous fera gagner le JDE à lui tout seul, mais si vous avez été gourmands dans vos choix aux autres postes, le rookie des Mavericks pourrait s’avérer une option intéressante à ce prix. Titulaire dans le cinq majeur, il prend de l’importance dans le jeu des Mavericks et a signé sa meilleure performance hier avec 17 points. Face à la faible défense de Denver, il pourrait rendre de nouveau une prestation correcte et vous permettre de compléter votre roster à bas prix. Les intérieurs Karl-Anthony TOWNS (Timberwolves, 22,5M) Avec une performance XXL contre Houston (41-15-5), les deuxièmes meilleures moyennes de points (27,3) et de rebonds (15) par match sur les trois derniers matchs, Towns apparaît comme un indispensable pour la sélection de ce soir. Tyson Chandler est certes un bon défenseur, mais on voit mal le vétéran parvenir à contenir Towns. Dwight HOWARD (Hawks, 17,1M) Points JDE lors de la dernière journée : 25,95 Sur les trois derniers matchs de NBA disputés, Howard est le joueur sélectionnable qui compte le nombre le plus élevé de rebonds (18 par match). Il a rendu une excellent copie lors de la défaite des Hawks contre les Hornets (10-23-1) et se présente comme l’un choix très intéressants de la soirée. John LEUER (Pistons, 13,3M) Absent lors du match contre les Pacers samedi dernier, Leuer est incertain pour le match de ce soir mais pourrait se révéler être un choix extrêmement payant s’il parvient à réediter les performances de la semaine dernière (17-7-5 contre les Wizards). Un profil à risque mais un joueur très abordable. Kenneth FARIED (Nuggets, 12,5M) Encore une option intéressante à bas prix avec l’ailier fort des Nuggets. Auteur d’une dernière sortie particulièrement réussie (25 pts, 7 rebonds, 3 contres, 2 passes), Faried pourrait profiter d’un secteur intérieur de Dallas affaibli par les blessures. http://janusport.com/nba-19-dec/
  17. Tu serais pas un énorme branlouze par hasard ? https://fr.unibet.be/promotions/raf edit : ah mais je suis renvoyé sur le site belge depuis l'étranger en fait
  18. Je vous ai déjà parlé d'un JDE Rugby ? Quand il y avait un partenariat PMU - Top14, je crois qu'il y avait plus de 2000 participants pour une fantasy gratuite avec genre 100 balles de dotation
  19. Les deux raisons majeures qui poussent à faire du volume au poker sont le rakeback et le niveau de tes adversaires que tu estimes inférieur au tien. En paris sportifs, il n'y a pas de rakeback et c'est comme si tu jouais exclusivement des tables full regs voire top regs. C'est encore pire en ARJEL en raison de TRJ plus faibles que sur le .com. Donc structurellement, il ne peut pas être aussi intéressant de faire du volume en paris sportifs qu'en poker. Concernant le lien entre la qualité des analyses et le volume, je crois que la relation est un peu plus complexe que ça. Je suis spécialisé dans le rugby qui est un sport avec des matchs exclusivement du jeudi au dimanche et des championnats à peu de clubs, donc moins d'événements qui peuvent faire l'objet d'une prise de paris que le foot ou la nba par exemple. J'analyse en gros tous les matchs avec le plus souvent une petite idée derrière la tête, une short-list de matchs que j'évalue préalablement tandis que 80% des matchs me prennent 5 secondes à la sortie des cotes pour savoir que ce ne sera pas la peine d'aller plus loin vu les cotes proposées. Ensuite de mon analyse des autres matchs dépend mon volume de mises, ce n'est pas l'inverse : le volume ne peut pas être un objectif en soi, il découle de l'analyse. Ce que je veux dire, c'est que c'est une erreur à mes yeux de se dire "il faut que je fasse du volume". Ton volume vient naturellement en fonction de tes analyses et de la value estimée. Si je repère 10 bets value, j'en prends 10 dans la semaine. Si j'estime que les books ont été justes dans leur évaluation et bien je ne parie pas.
  20. Winamax : les infos utiles sur ce bookmaker

    La pratique lamentable de Winamax pour tenter de tromper ses clients : Tu appuies sur la rubrique NBA, pensant évidemment qu'il s'agit des bets 1N2 mais non c'est en fait un vieil over/under qui apparaît une fois que tu as sélectionné le bet
  21. Recensement Expression Sportive

    En rugby y en a pas mal (y en a en communs avec d'autres spors): "Aller à dame" = marquer un essai "Mettre les barbelés" = défendre sans reculer "Faire un raffut / Raffuter" = dégager un adversaire avec le bras "Une fourchette" = doigts dans les yeux de l'adversaire "La cravate" "Le coup de la corde à linge" = plaquage haut bras tendu "Une cuillère" = faire trébucher un adversaire quand il nous a dépassé en se saisissant d'un seul pied "Un pizzaiolo" = un talonneur qui lance très mal en touche (variante dans les stades : hurler au moment du lancer : le nom ou prénom du talon avec "UNE CALZONE POUR LA 4 S IL TE PLAIT" ou autre) "Faire une cocotte" = créer un maul "La gonfle" = le ballon J'pourrais continuer deux heures en fait.
  22. Discussion générale paris Rugby

    Vu que la section rugby ronflote : Petit coup de coeur perso en Challenge cup, belle value à mes yeux pour bcp de raisons mais ça reste une petite mise en raison de la variance inhérente à ce genre de bet : Le Krasny yar avait crée la sensation de la première journée de Challenge Cup en s’imposant contre le Stade Français en Sibérie. Les joueurs parisiens n’avaient pas hésité à parler de “plus grande honte de l’histoire du club” après cette Bérézina mais n’avaient pas été plus brillants face aux London Irish à domicile la semaine suivante. Vers une nouvelle déroute de Russie ? Eléments de réponse sur Janusport.com. Stade Français / Krasny Yar L’analyse Le vice-champion de Russie a une politique un peu diffèrente du Enisei-STM qui dispute également la Challenge Cup dans la poule de l’UBB. Le Krasny Yar est plus ouvert aux joueurs étrangers et compte dans ses rangs de nombeux joueurs géorgiens ainsi que l’ouvreur tongien Fangatapu Apikotoa, régulièrement appelé en sélection nationale. Après sa perf historique contre le Stade Français (34-29), les Russes sont vite descendus de leur nuage en s’insclinant très lourdement à domicile contre une équipe remaniée d’Edimbourg (14-73). Autant dire que le Stade Français a davantage perdu le match aller que les Russes ne l’ont gagné. Les joueurs de la Capitale restent sur un très gros derby remporté contre le Racing mais ont jusque là livré des prestations lamentables en Challenge Cup. L’équipe alignée n’est évidemment pas l’équipe type mais on note surtout une pénurie de joueurs au poste de troisième ligne. Craig Burden, talonneur, est forcé de commencer le match comme flanckers tandis que 5 joueurs de première ligne se retrouvent sur le banc de touche. Le turn-over des spécialistes du poste (Meïté et Ugena) devrait donc être réduit mais il est possible de voir Hugh Pyle reculer d’un cran au cours du match. Le Stade Français n’a pas fait du Challenge sa priorité mais les joueurs voudront laver l’affront qui leur a été infligé en Sibérie et enchaîner après l’importante victoire dans le derby. Un joueur en particulier pourrait être motivé, l’expérimenté Bakary Meïté qui déclarait à l’issue du match : “Aujourd’hui, on entre donc dans l’histoire de la façon la plus bête qui soit: faire partie de l’équipe du Stade français qui a perdu à Krasnoyarsk me fait chi**…“. L’ancien biterrois n’est pas une star de l’effectif parisien et ne découvre le Top 14 que sur le tard mais il était un redoutable joueur de Pro D2, auteur d’une saison 2015/2016 remarquable. Joueur de caractère, marqueur contre les London irish malgré la déroute parisienne, nous le voyons inscrire un essai contre le Krasny Yar. Notre pronostic Nous vous conseillons de miser 1,5u sur Essai de Bakary Meïté @ 2.50 sur .
  23. Discussion générale paris Rugby

    Vu que c'est assez compliqué de s'y retrouver entre les différents threads de la section rugby et dans un souci jacobin de centralisation, je pense qu'il est plus pratique d'avoir un sujet principal de discussion concernant les bets rugby. Ca désinhibera également ceux qui ont la flemme de créer un sujet pour échanger sur un tuyau en PROD2. On ne parlera pas ici de la nouvelle liste du père Novès, de Boudjellal en Premiership ou des JIFFs, il y a déjà suffisamment de threads à cet effet et le but n'est pas de vampiriser toute la section.. On commence avec un week-end assez particulier, la plupart des matchs européens sont sans enjeu donc pas ouverts aux paris. Premier match ce soir avec le derby, Bourgoin - LOU. Bourgoin est assez solide à Pierre Rajon depuis quelques mois mais n'a pas eu à affronter de cadors si ce n'est en tout début de saison. Les berjalliens ont un effectif beaucoup plus local que la multinationale lyonnaise et devraient énormément d'envie en début de match. Brett, qui serait titulaire dans 3/4 des clubs de Top14 à l'ouverture, est absent côté lyonnais mais ils récupèrent notamment Pae'a et Bonnaire donc seront toujours très compétitifs. J'ai néanmoins pas été emballé par leur dernière sortie contre un Narbonne assez faiblard. Mon bookie me propose du 1.8 pour Bourgoin +7 et -7 et j'ai pas l'impression de pouvoir me faire des bourliches dorées avec ça. Si j'étais complétement addict je tablerais sur une belle prestation berjallienne mais je préfère m'abstenir pour le moment. Le match qui retient un peu plus mon attention ce week-end est MHR - Quins. Montpellier met quasiment l'équipe type avec les frérots du Plessis, les poutres habituelles en deuxième-ligne, une charnière un peu sous-estimée Paillauge - Catrakillis que j'aime beaucoup et un banc de feu avec le retour de FTD, Nic White et le troisième du Plessis qui est un put**n de joueur. Du côté des Quins, ils mettent une première ligne dégueulasse sans Marler ni Jones, Easter, Danny Care, Nick Evans, Roberts et Brown sont également absents et pour la plupart même pas dans le groupe. En effet les Quins sont assurés d'être premiers et de jouer leur 1/4 à domicile quand le MHR doit gagner pour se qualifier. Je vois une belle victoire du MHR et je pense m'orienter vers des bets sur les marqueurs d'essai qui vont pour les joueurs value de @3,9 à Qera à Willemse @13. A vous !
  24. Europa League 2017-2018

    Pas bandante cette carte quand même Thauvin out btw
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